Mobistar communique ce jour ses résultats à la fin du troisième trimestre 2008. Grâce à la mise en oeuvre continue de sa stratégie, Mobistar peut présenter des chiffres en progression, malgré un marché compétitif soumis à une pression régulatoire continue et un climat économique défavorable.
Faits marquants
Le groupe Mobistar enregistre une croissance de 10,0 % de la base clients en un an. Le nombre de clients est passé de 3.411.232 clients actifs fin septembre 2007 à 3.752.491 clients actifs à la fin du troisième trimestre 2008.
Au 30 septembre 2008, le groupe Mobistar parvient à présenter un chiffre d'affaires consolidé en hausse, malgré l'impact des mesures régulatoires qui s'élève à 81,5 millions d'euros pour les neuf premiers mois de l'année. Fin septembre 2008, le chiffre d'affaires consolidé s'élevait à 1.139,3 millions d'euros, contre 1.125,1 millions d'euros fin septembre 2007, soit une croissance de 1,3 %.
L'augmentation du nombre de clients et une utilisation accrue (voix et data) ralentissent la baisse de l'ARPU, toujours soumis à la diminution des tarifs de terminaison mobile et de roaming. L'impact régulatoire sur l'ARPU s'élève à -2,4 euros. L'ARPU enregistre une baisse de 7,8 %, passant de 35,6 euros par mois par client fin septembre 2007 à 32,83 euros par mois par client fin septembre 2008, contre 33,13 euros par client fin juin 2008.
La marge d'EBITDA reste stable à 41,5 % du chiffre d'affaires de la téléphonie grâce entre autres à une gestion efficace des coûts.
Les bons résultats des neuf premiers mois de 2008 permettent à Mobistar de confirmer ses prévisions pour l'ensemble de l'exercice 2008, tel qu'annoncé à la fin du premier semestre (diminution de 0 à 2 % du chiffre d'affaires, marge d'EBITDA à 40 % minimum, niveau d'investissement aux alentours de 10 % du chiffre d'affaires de la téléphonie et baisse de 2 à 4 % du résultat net par action, en fonction du nombre d'actions en circulation à fin décembre 2008), et ce malgré un marché compétitif soumis à la pression régulatoire et un climat économique défavorable.